Le bois mature est de couleur assez homogène, jaune clair à blanc tirant sur le rouge ; ne forme pas de duramen à proprement parler, mais l’intérieur est caractérisé par une coloration rouge à brun foncé souvent circulaire, en forme d’étoile ou même tout à fait irrégulière et se fondant progressivement (on appelle cela un cœur rouge). Pores fins, structure homogène, sans veinure prononcée, à l’exception des miroirs sur la surface radiale.
Bois mi-lourd à lourd. Très robuste, degré de dureté élevé, résistant à l’abrasion, solide. Bien proportionné, se rétracte fortement, et se déforme facilement. Se travaille facilement, de manière propre, avec n’importe quel outil. Bois non durable lorsqu’il est exposé aux intempéries ou au contact de la terre, mais, à l’exception du cœur, s’imprègne bien et facilement.
Aubier et duramen se différencient facilement à leur couleur. L’aubier, souvent fin, est blanc jaunâtre, le duramen est brun jaunâtre qui fonce progressivement. Pores grossiers avec veinures particulièrement striées.
Bois mi-lourd à lourd et dur. Propriétés de résistance et d’élasticité exceptionnelles, bonne résistance à l’usure. Se rétracte peu et ne se déforme généralement que très peu. Se travaille facilement, de manière propre. Cœur durable même lorsqu’il est soumis aux intempéries ou au contact avec la terre, se conserve presqu’indéfiniment sous l’eau, mais ne s’imprègne que très difficilement. L’aubier, en revanche, n’est pas durable, mais léger, et il s’imprègne bien.
Aubier et duramen se différencient facilement à leur couleur. L’aubier est fin ou large, blanc jaunâtre à blanc rougeâtre. Le duramen est d’un jaune rougeâtre frais, et il fonce pour devenir d’un brun rougeâtre ou brun rouge intense sous l’effet des UV. Veinures particulièrement striées.
Mi-lourd et modérément dur. Résineux. Bonnes propriétés de résistance et d’élasticité. Il se rétracte peu et ne se déforme pas. Se travaille facilement à l’aide de n’importe quel outil. Peu à modérément durable lorsqu’il est exposé aux intempéries ou au contact de la terre, ne s’imprègne que difficilement à très difficilement ; l’aubier, en revanche, ne résiste pas non plus aux intempéries, mais il est léger et il s’imprègne bien.